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Jahrgang 40 (2016) Heft 1

Heft
1 (2016)

Jahrgang
40

Aus der Arbeit der DGEJ

• Zu diesem Heft (Carsten Zelle)
• Internationale Panels der DGEJ auf dem 14. International Congress for Eighteenth Century Studies (ISECS/SIEDS), 27.-31. Juli 2015, in Rotterdam. Berichte (Sabine Volk-Birke, Hans-Jürgen Lüsebrink, Hanco Jürgens)
• Zwei deutsch-amerikanische Panels auf der 47. Tagung der American Society for Eighteenth-Century Studies (ASECS), Pittsburgh, PA, 31. März bis 3. April 2016. Berichte (Silke Förschler, Jürgen Overhoff)

Beiträge

• Christina Randig: ›Honnête homme‹ und ›femme des Lumieres‹: Charlotte Sophie Reichsgräfin von Bentinck, geb. von Aldenburg. Zur 300. Wiederkehr ihres Geburtstags. S. 15-29
  Abstract

  Charlotte Sophie von Bentinck, Countess of the Empire from northern Germany with roots in the French high nobility, used to receive the attention and the recognition of the European courts and scholars in the 18th century. Aristocratic thinking on the one hand and the ideas of Enlightenment from France on the other shaped her biography in a different but complementary manner. The perfect mastery of courtly manners – a result of an education according to French ideals befitting her rank – and her unfailing desire for self-enlightenment as well as her friendly relationship with Voltaire made her an outstanding, emancipated personality. / Charlotte Sophie von Bentinck, Comtesse de l’Empire d’Allemagne du Nord, descendant en partie de la haute noblesse française jouissait de l’attention et de la reconnaissance des cours européennes et du monde savant au XVIIIe siècle. La pensée propre à l’aristocratie de son temps, d’une part, et les idées des Lumières françaises, d’autre part, ont imprégné sa biographie de manière certes différente mais complémentaire. Sa parfaite maîtrise des mœurs courtoises – résultat d’une éducation proche des idéaux français et conforme à son rang – mais aussi sa volonté indéfectible d’adhérer à la philosophie des Lumières et sa relation amicale avec Voltaire ont contribué à faire d’elle une personnalité exceptionnelle et émancipée.

• Olaf Kramer: Poetik der Ausgrenzung. Zur Konturierung von Empfindung und Vernunft bei Christian Fürchtegott Gellert. S. 30-46
  Abstract

  This article examines the regime of emotional expression in Christian Fürchtegott Gellert’s theoretical (especially Moralische Vorlesungen) and literary (especially Leben der schwedischen Gräfin von G***) texts. It is shown here how the initial effort to control and shape emotions is weakened by the dynamism of fiction (e.g. in Inkle und Yariko). Literary expression proves to be an instrument of critical analysis and insight that is capable of developing a critical perspective on the enlightenment movement. / Le texte étudie le régime de la sensibilité dans les écrits de Christian Fürchtegott Gellert en s’appuyant sur ses œuvres théoriques (entre autres, Moralische Vorlesungen) et littéraires (entre autres, Leben der schwedischen Gräfin von G***). Il apparaît que la tentative initiale de réguler et de modeler les émotions tend à se fragiliser sous l’influence de la dynamique de la fiction (p. ex. dans le récit Inkle und Yariko). L’écriture littéraire s’avère être un outil de connaissance pouvant mettre en lumière de manière critique les conséquences du mouvement des Lumières.

• Maximiliane Jäger-Gogoll: »… wo noch keines Menschen Fuß-Tritt gewandelt …« – Synthese und Transgression in Salomon Gessners Der Tod Abels. S. 47-65
  Abstract

   In this paper, Gessner’s Der Tod Abel’s is studied as a literary experience that deals with moments of ›synthesis‹ and ›transgression‹ as constituent elements of the ›Patriarchade‹ in a particularly productive way. Not only does Gessner apply the genre of the epic and the sublime in the text for the first time, but also deals with biblical topics and a theme which places the motives of envy, hate and murder, i.e. the phenomenon of human aggression and destruction, at the centre of events. Our thesis is that Gessner in this constellation puts to a profound literary test the fundamental characteristics of his own idyllic poetry, which has consequences for the concept of idyll both for himself and for his contemporaries. / Dans cette étude, La Mort d’Abel de Gessner est explorée comme une expérience littéraire ayant pour objet les moments de la ‹ synthèse › et de la ‹ transgression › en tant qu’éléments constitutifs de la ‹ Patriarchade › de façon particulièrement édifiante. Dans ce texte, Gessner aborde, non seulement, pour la première fois le genre de l’épopée et du sublime mais aussi des sujets bibliques ainsi qu’un thème plaçant les motifs de l’envie, de la haine et du meurtre – à savoir le phénomène de l’agression humaine et de la destructivité – au centre des événements. Nous soutenons la thèse que, dans cette constellation, Gessner met considérablement à l’épreuve littéraire les caractéristiques fondamentales de sa propre poésie idyllique, ce qui a des répercussions sur la notion de l’idylle aussi bien pour lui que pour ses contemporains.

• Hans-Joachim Jakob: Johann Friedrich Schinks Grazer Teaterchronik (1783) – ein rares österreichisches Theaterjournal. S. 66-78
  Abstract

  The dramatic adviser Johann Friedrich Schink describes in his Grazer Teaterchronik the stagings of the drama society led by Johann Joseph and Maria Rosalia Nouseul, which took place in Styria from April to August in 1783. The presentation of a demanding repertoire of moralising stage plays creates numerous difficulties for the actors and the audience. / Dans sa Grazer Teaterchronik, le dramaturge et critique de théâtre Johann Friedrich Schink décrit les représentations théâtrales de la troupe de théâtre de Johann Joseph et Maria Rosalia Nouseul mises en scène en Styrie entre les mois d’avril et d’août 1783. La présentation d’un répertoire ambitieux des spectacles moralisants crée un certain nombre de difficultés, tant pour les acteurs que pour le public.

• Elena Agazzi: Tiecks und Wackenroders Diskurs über das Theater: Dramaturgie und Bestimmung des Geschmacks. S. 79-96
  Abstract

  The late Eighteenth century lacked clear-cut criteria to define the line between Hoch- and Trivialdramaturgie. In the two centuries that ensued, literary critics attempted to classify the plays in a more definite way, yet sometimes employed questionable criteria. In the development of Wackenroder’s and Tieck’s aesthetic taste, which can be interestingly followed in their correspondence between 1792 and 1793, the two friends show critical positions regarding works staged that highlight both Wackenroder’s debt towards Lessing’s and Mendelssohn’s Gefühlstheorien and also Tieck’s orientation towards the study of Stoic doctrines in Antiquity and the Renaissance, which is linked to his interest in the works of Shakespeare. This study seeks to further Tieck’s investigation into the esthetic and ethical-moral ›sublime‹ and triggers a lively debate with his friend on the values that make the conduct of man exemplary on the scene and, above all, in daily life. / À la fin du XVIIIe siècle, il n’existe pas de critères clairs permettant de définir la limite entre la Hochdramaturgie et la Trivialdramaturgie. Si, au cours des deux siècles suivants, la critique littéraire s’est efforcée de proposer une classification plus précise des œuvres théâtrales, celle-ci s’appuyait parfois sur des critères discutables. Dans le cadre de leur éducation du goût esthétique que l’on peut suivre avec intérêt dans leur correspondance entre 1792 et 1793, les deux amis Wackenroder et Tieck sont porteurs de positions critiques à l’égard des pièces alors mises en scène. Celles-ci mettent en lumière, d’une part, les emprunts que Wackenroder tire des Gefühlstheorien de Lessing et Mendelssohn et, d’autre part, l’orientation de Tieck vers l’étude des doctrines stoïciennes anciennes et de la Renaissance, en lien direct avec son intérêt pour les œuvres de Shakespeare. Cette étude vise à poursuivre l’enquête de Tieck sur le ‹ sublime › au sens esthétique et éthico-moral, donnant naissance à un débat animé avec son ami sur les valeurs qui rendent la conduite de l’homme exemplaire sur la scène et, surtout, dans la vie quotidienne.

Aus der Forschung

• Hanspeter Marti über Melk in der barocken Gelehrtenrepublik. Die Brüder Bernhard und Hieronymus Pez, ihre Forschungen und Netzwerke. Hg. Cornelia Faustmann, Gottfried Glassner OSB, Thomas Wallnig 2014)
• Ali Zein über Lesen, Schreiben, Kopieren. Lese- und Exzerpierkunst in der europäischen Literatur des 18. Jahrhunderts. Hg. Elisabeth Décultot (2014)
• Kristin Eichhorn über Uwe Hentzschel: Vom Lieblingsautor zum Außenseiter. Ein Beitrag zur Kanondebatte des 18. Jahrhunderts (2015)
• Martin Rector über Herbert Kraft: J. M. R. Lenz. Biographie (2015)
• Kai Torsten Kanz über Johann Friedrich Blumenbach: Beyträge zur Naturgeschichte (Göttingen 1790-1811). Reprint. Hg. Mario Marino (2014)
• Maryvonne Hagby über Historische Wunder-Beschreibung von der so genannten Schönen Melusina. Die »Melusine« (1456) Thürings von Ringoltingen in einer wiederentdeckten Fassung aus dem frühen 18. Jahrhundert. Hg. André Schnyder (2014)
• Damien Tricoire über Jesuit Accounts of the Colonial Americas. Intercultural Transfers, Intellectual Disputes, and Textualities. Hg. Marc-André Bernier, Clorinda Donato, Hans-Jürgen Lüsebrink (2014)
• Paul Kahl über Der Briefwechsel zwischen Johann Martin Miller und Johann Heinrich Voß. Hg. Manfred von Stosch (2012)
• Guglielmo Gabbiadini über Volksaufklärerische Reformkalender des 18. Jahrhunderts. Der Curieuse Bauer (1739), Historisch- und Geographischer Calender (1779), Des Jüngern Wilhelm Denkers Haus-Calender (1792). Reprint. Hg. Klaus-Dieter Herbst (2014)
• Michael Multhammer über Lessings Hamburgische Dramaturgie im Kontext des europäischen Theaters im 18. Jahrhundert. Hg. Monika Fick (= Lessing Yearbook/Jahrbuch 41) (2014)
• Flemming Schock über Zeitschriftenliteratur/Fortsetzungsliteratur. Hg. Nicola Kaminski, Nora Ramtke, Carsten Zelle (2014)
• Daniela Kohler über »Heute war ich bey Lisette in der Visite.« Die Tagebücher der Basler Pfarrersfrau Ursula Bruckner-Eglinger 1816-1833. Hg. Bernadette Hagenbuch (2014)
• Georg Eckert über Edward Gibbon im deutschen Sprachraum. Bausteine einer Rezeptionsgeschichte. Hg. Cord-Friedrich Berghahn, Till Kinzel (2015)
• Anna Christina Schütz über Kathrin Baumeister: Die beste aller Welten. Künstler illustrieren Voltaires Candide. Chodowiecki, Monnet, Moreau, Unold, Klee, Kubin (2015)
• Thomas Wallnig über Philippe Lenain: Histoire littéraire des bénédictins de Saint-Maur. Tome IV (1724–1793) (2014)
• Kai Torsten Kanz über Matthias Schönhofer: Letters from an American Botanist. The Correspondences of Gotthilf Heinrich Ernst Mühlenberg (1753-1815) (2015)
• Laurenz Lütteken über Rainer Theobald: Die Opern-Stagioni der Brüder Mingotti. 1730-1766. Ein neues Verzeichnis des Spielorte und Produktionen. Chronologie aus Quellen zur Verbreitung und Rezeption der venezianischen Oper nördlich der Alpen (2015)
• Claudia Öhlschläger über Nicola Kaminski, Volker Mergenthaler: »Zuschauer im Eckfenster« oder Selbstreflexion der Journalliteratur im Journal(text). Mit einem Faksimile des Zuschauers vom April/Mai 1822 (2015)
• Stefan Borchers über Die Causa Christian Wolff. Ein epochemachender Skandal und seine Hintergründe. Hg. Andreas Pečar, Holger Zaunstöck, Thomas Müller-Bahlke (2015)
• Günter Arnold über Kulturlandschaften. Auf Herders Spuren zwischen Mohrungen und Königsberg. Hg. Herbert Fitzek, Friederike Krause, Alina Kuzborska (2012)
• Katrin Keller über Innsbruck 1765. Prunkvolle Hochzeit, fröhliche Feste, tragischer Ausklang – Noces fastueuses, fetes joyeuses, fin tragique – Magnificent wedding, joyous feasts, dramatic end. Hg. Renate Zedinger (2015)

Sonstiges

Eingegangene Bücher